dimanche 9 septembre 2018

L'appel de l'ange- Musso


Un téléphone portable?

Au début, vous n'en voyiez pas vraiment l'utilité, mais pour ne pas paraitre dépassée, vous vous êtes laissé tenter par un modèle très simple avec un forfait basique. Les premiers temps, vous vous êtes parfois surprise à bavarder un peu fort, au restaurant, dans le train ou à la terrasse des cafés. C'est vrai que c'était pratique et rassurant d'avoir toujours la famille et les amis à porter de voix.

Comme tout monde, vous avez appris à rédiger des SMS en tapant sur un clavier minuscule et vous vous êtes habituée à en envoyer à tour de bras. Comme tout le monde, vous avez renoncé à votre agenda pour le remplacer par la version éléctronique. Avec application, vous avez saisi dans le répertoire les numéros de vos connaissances, de votre famille de votre amant. Voys y avez camouflé ceux de vos ex ainsi que le code de votre carte bleue qu'il vous arrive d'oublier.

Même s'il prenait des clichés de piètre qualité, vous avez utilisé l'appareil de votre portable. C'était sympa d'avoir toujours sur soi une photo rigolote à montrer aux collègues. D'ailleurs tout le monde faisait pareil. L'objet collait à l'époque: les cloisons s'effaçaient entre vie intime, vie professionnelle et vie sociale. Surtout, le quotidien était devenu plus urgent, plus flexible, nécessitant en permanence de jongler avec votre emploi du temps.

Récemment, vous avez changé votre vieil appareil contre un modèle plus perfectionné: une petite merveille vous permettant d'avoir accès à vos mails, de naviguer sur Internet et d'y télécharger des centaines d'applications.

C'est là que vous êtes devenue accro. Comme greffé à votre corps, votre mobile est désormais un prolongement de vous-même qui vous accompagne jusque dans votre salle de bains ou vos toilettes. Où que vous soyez, vous laissez rarement passer plus d'une demie-heure sans regarder votre écran, guettant un appel resté en absence, un message intime ou amical. Et si votre boite mail est vide, vous cliquez pour vérifier que aucun courrier est en attente.

Comme le doudou de votre enfance, votre téléphone vous rassure. Son écran est doux, apaisant, hypnotique. Il vous donne une contenance dans toutes les situations et vous offre une facilité de contact immédiat qui laisse ouverts tous les possibles...

Mais....

dimanche 22 avril 2018

Article: La liberté scolaire est défendue par la Constitution et les traités d'Adeline le Gouvello

Article très intéressant, lu sur ce  blog .

« La liberté scolaire est défendue par la Constitution et les traités ! »Homework by Alan Wat(CC BY 2.0)

L’État, loin de méditer sur le succès des écoles hors contrat, préfère faire obstacle, par principe, à la création d’établissements scolaires.
La proposition de loi de la Sénatrice Françoise Gatel revient en deuxième lecture au Sénat. Ce texte vise à limiter les créations d’écoles indépendantes, dites aussi « hors contrat » en durcissant les conditions de leur ouverture.
Il est vrai que le phénomène de ces écoles alternatives ne pouvait plus être ignoré. 122 ouvertures pour 2017 (84% de ces établissements étant aconfessionnels), contre 93 en 2016, 67 en 2015 : il y avait de quoi susciter la réflexion.
Cependant, face à un succès qui ne dément pas, l’État, loin de méditer sur les raisons profondes qui poussent des acteurs de la société civile à se lancer dans une entreprise pourtant longue, coûteuse et difficile, préfère couper court à ce phénomène agaçant : l’appareil étatique s’est ainsi mis « en marche » pour faire obstacle, par principe, à la création d’établissements scolaires.

UNE LIMITATION CONTRAIRE AUX PRINCIPES FONDAMENTAUX

La ministre de l’Éducation nationale précédente, Najat Vallaud Belkacem, s’y est d’abord cassé les dents l’année dernière : le texte a été retoqué devant le Conseil Constitutionnel considérant qu’il constituait un risque d’atteinte à la liberté de l’enseignement. Sorti par la porte, le projet revient par la fenêtre sous l’égide d’un membre du Parlement.
Pourtant, le législateur, tout auteur de la Loi qu’il est, reste soumis à des principes qui lui sont supérieurs : la loi est inscrite dans une hiérarchie des normes avec au-dessus d’elle les Conventions Internationales et au sommet la Constitution.
Le principe à valeur constitutionnelle de la liberté de l’enseignement se trouve largement écorné par une telle proposition de restriction de ladite liberté. D’ores et déjà, le texte se heurtera à cette difficulté.
Mais en outre, les dispositions internationales, notamment celles relatives aux droits de l’enfant, entrent en contradiction directe avec cette proposition.

LA PLACE PREMIÈRE DES PARENTS CONVENTIONNELLEMENT RECONNUE

La Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE), texte ratifié par le plus grand nombre d’États, dont la France, prévoit plusieurs dispositions relatives à l’éducation et au développement de l’enfant.
Dans un premier temps, ses articles 18 et 27 énoncent que
c’est aux parents ou aux autres personnes ayant la charge de l’enfant qu’incombe au premier chef  la responsabilité d’assurer, dans les limites de leurs possibilités et de leurs moyens financiers, les conditions de vie nécessaires au développement de l’enfant,
rejoignant ainsi d’autres dispositions internationales, notamment la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (« Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants » art. 26-3) et le protocole additionnel de la Convention Européenne des droits de l’homme (art. 2).
La place des parents, premiers éducateurs de leurs enfants, est donc expressément reconnue. De là découle la responsabilité de poser les choix pour faire grandir leurs enfants vers ce qui leur semble le meilleur. Chaque parent a forcément des attentes et des choix différents et de multiples façons de considérer quel chemin sera le mieux adapté à son enfant pour « développer sa personnalité »« sa formation » (art. 1 du code de l’éducation).

UNE OBLIGATION POUR LES ÉTATS DE GARANTIR UN ACCÈS À L’INSTRUCTION

C’est ainsi à côté de la place première reconnue aux parents, et seulement en second lieu, qu’intervient l’État qui doit alors aider les parents dans leur charge d’éducateur (CIDE, art. 27-3) en rendant « l’enseignement primaire obligatoire et gratuit pour tous » (CIDE, art. 28-1 a) et l’enseignement secondaire accessible à tout enfant, gratuit ou avec une aide financière en cas de besoin (CIDE, art. 28-1 b).

DROIT À L’ÉDUCATION : PAS UNE EXCLUSIVITÉ DE L’ÉTAT

Est-ce à dire qu’au regard de la CIDE, cette aide apportée par l’État est exclusive et qu’en dehors des établissements créés et promus par lui, l’enfant ne pourrait voir son droit à l’éducation garanti ? Nullement, et le texte prend soin de le spécifier expressément en son article 29-2 :
Aucune disposition du présent article ou de l’article 28 ne sera interprétée d’une manière qui porte atteinte à la liberté des personnes physiques ou morales de créer et de diriger des établissements d’enseignement, à condition que les principes énoncés au paragraphe 1 du présent article soient respectés et que l’éducation dispensée dans ces établissements soit conforme aux normes minimales que l’État aura prescrites.

UN DROIT GARANTI PAR LA DIVERSITÉ DES OFFRES ÉDUCATIVES

Si la Convention prend soin d’affirmer expressément la liberté de création des écoles, c’est précisément parce qu’elle est une garantie de l’effectivité du droit à l’éducation dont bénéficie l’enfant. Elle rappelle en effet que le contenu de ce droit consiste notamment dans le fait de « favoriser l’épanouissement de la personnalité de l’enfant et le développement de ses dons et de ses aptitudes mentales et physiques, dans toute la mesure de leurs potentialités ».
Peut-on sérieusement penser qu’un schéma unique d’école permettra à chaque enfant d’épanouir sa personnalité et ses talents ? On sait pertinemment que certains enfants sont mieux adaptés à une pédagogie qu’à une autre, que des petits effectifs favoriseront l’éclosion de la personnalité de certains quand d’autres auront besoin d’être particulièrement stimulés…
Le foisonnement et la multiplicité des propositions, qui par des chemins différents amènent à un même but, est donc la garantie d’un droit à l’éducation effectif, quand l’uniformisation et la standardisation, sans même parler des échecs actuels du système à bien des égards, le videront de toute substance.
Les chiffres témoignent de la diversité des offres, la tendance générale étant en faveur des écoles Montessori (28%), talonnées de près par les écoles démocratiques (23%), les pédagogies classiques regroupant 18%, et 30% de toutes ces écoles offrant un parcours bilingue.
On est bien loin du prétendu risque agité par la sénatrice qui ne cite d’ailleurs en tout et pour tout que deux écoles coraniques, et auquel l’État a déjà les moyens de remédier si les problèmes sont avérés.

UN DROIT DÉJÀ ENCADRÉ

La limite à cette liberté de créer des établissements scolaires est en effet posée par le respect de normes minimales édictées par l’État (CIDE, art 29-2). C’est exactement ce que prévoit le régime légal actuel puisque les écoles indépendantes sont dans l’obligation de respecter le socle commun des connaissances (art. L 111 du code de l’éducation), étant soumises comme les autres aux inspections de l’Académie, et au respect de l’ordre public, des bonnes mœurs, sous peine d’opposition du maire ou du Procureur de la République à leur ouverture.
Les pouvoirs publics ont donc d’ores et déjà les moyens légaux nécessaires de contrôler ce qui se crée dans le respect de la liberté et des droits garantis aux parents et aux enfants. Si « faillite éducative » il y avait, l’État a actuellement les moyens d’y remédier. Ce n’est donc pas l’éventuelle non-application des conditions par les établissements indépendants qui est en question : globalement, ces écoles ont au contraire un bon niveau, permettant aux enfants, à l’aide de pédagogies très diverses d’acquérir des bases solides.
Le préambule de la présente proposition de loi laisse entendre en revanche la raison réelle qui justifie les obstacles à la création qu’elle souhaite imposer : rappelant le nombre exponentiel d’ouvertures, elle indique que
le régime d’ouverture, tel qu’il existe aujourd’hui, n’est pas satisfaisant tant par la complexité de la procédure, le sentiment de faits accomplis dans lequel il place élus locaux et services de l’État, que par les leviers d’actions trop limités qu’il offre.
Ainsi se pose la question de savoir si le ressort véritable d’une telle proposition n’est pas la contrariété de voir s’exercer la liberté des parents qui se dirigent vers des propositions éducatives autres que celles de l’État.
Ce dernier ne s’attacherait alors plus à la prise en compte première de l’enfant et de la qualité des propositions éducatives mais imposerait une restriction des libertés contraire aux droits conventionnellement reconnus à l’enfant. « La raison du plus fort serait-elle toujours la meilleure? L’État va-t-il nous le montrer tout à l’heure ? »
Gageons que le respect des principes permettra aux institutions de reprendre leurs esprits. Si en effet le Sénat ne montre pas le « bon exemple » en respectant la hiérarchie des normes, comment pourra-t-il prétendre ensuite au respect des lois qu’il édicte alors qu’il passe outre les normes auxquelles il était lui-même soumis ?
  1.   Adeline Le Gouvello est avocate, spécialisée dans les droits de la propriété intellectuelle et le secteur de l’enfance. ↩

samedi 21 avril 2018

dimanche 1 avril 2018

Le Système d'Éducation, Une Bonne Fois Pour Toutes


Aujourd'hui.

Il y a 100 ans: 

« N’élevons pas nos enfants pour le monde d’aujourd’hui. Ce monde n’existera plus lorsqu’ils seront grands. Et rien ne nous permet de savoir quel monde sera le leur. Alors apprenons-leur à s’adapter. » 

Maria Montessori dans L’esprit absorbant DDB

'L'école est restée dans les cavernes': le coup de gueule de Jérôme Colin sur l'enseignement

'L'école est restée dans les cavernes': le coup de gueule de Jérôme Colin sur l'enseignement.



Je n'arrête pas de le dire ;-)


dimanche 4 février 2018

Comment ranger leurs jeux façon Montessori

Petit clin d’œil à ma meilleure amie ;-)

Fuyez le coffre à jouets fourre-tout:


Trouvez deux étagères: une étagère pour la chambre et une pour le salon, quelques boites, des plateaux, des paniers, une table et une chaise à la hauteur de l'enfant et un tapis pour ceux qui ont la table du salon dessus.

Dans la première boite, vous mettez la dînette, dans la seconde le train, dans la troisième les légos, dans la quatrième les poupées et dans la cinquième les déguisements.

Sur les étagères, se trouvent des plateaux avec des activités: un tableau à peindre, un jeu de société, une modèle d'origami, une expérience scientifique, un puzzle... Suivez les goûts de votre enfant.

Vous devez exercer un roulement des jeux environ toutes les deux, trois semaines selon l'age de votre enfant. Le reste des jeux est rangé dans une armoire. (Bien sûr vous pouvez en sortir un si votre enfant le demande.)

Évitez si possible les activités qu'il a déjà à l'école.

Rangez les jouets toujours au même endroit.

Invitez votre enfant à ranger son jeu avant d'en prendre un autre!

Un sans faute pour cette maman, même pour les petites voitures : (lien)


https://version5point0.wordpress.com/2013/06/27/faire-le-vide-pour-y-voir-plus-clair/


Ne pas oubliez le coin art et le coin lecture.

Pour Elisa, jusqu'à environ ses 6 ans, elle avait le même type de coin art/musique qu'ici: A visiter




Bon rangement :-)





Grace and Courtesy

Grace and Courtesy lessons are more than just the materials on the shelf. These lessons are living and breathing in the Montessori classroom and found all around.  At the beginning of the school year, we focus heavily on presenting and modeling Grace and Courtesy lessons which in turn become the cornerstone of classroom expectations. 

Some examples of these lessons  {which we are currently working on in our toddler environment} include:

  • How to unroll and roll a rug
  • How to politely interrupt someone 
  • How to clean up a spill 
  • How to wait your turn for a material
  • greeting someone
  • introducing oneself
  • shaking hands
  • receiving visitors
  • apologizing/excusing oneself
  • watching and observing others
  • taking turns
  • interrupting/asking for help
  • using a quiet voice
  • speaking in a polite tone
  • saying please and thank you
  • blowing one’s nose
  • coughing and sneezing
  • washing one’s hands
  • inviting and refusing a partner or playmate
  • respecting others and their space
  • walking around people and objects
  • sitting on and putting away a chair
  • walking in line
  • offering food
  • caring for works, books, and the environment
  • carrying work or objects
  • being silent
  • being kind
  • making friends




The desire to be gracious and courteous is naturally present in the child.



Grace and Courtesy lessons are ever expanding and evolving with the children's needs and behaviors. 

Maria Montessori believed children from age 2  to 6 were in a Sensitive Period for order. This means that the child is drawn to order in the external environment so that he can create his own order internally.

"Within every young child is the need for order. The initial lessons of Grace and Courtesy center on building the Montessori classroom community, and are often presented in the context of the Montessori Practical Life curriculum. They answer the child's questions of how they fit into and participate in their environment. Using clear language and modeling, Montessori teachers present these lessons to provide structure so the child can know her place, not only in the Montessori environment, but in the world at large. So in the child, besides the vital impulse to create himself, and to become perfect, there must yet another purpose, a duty to fulfill in harmony, something he has to do in the service of a united whole. ~ " Montessori, The Absorbent Mind, pg 57.
Nikki

samedi 13 janvier 2018

Classroom Limits

Limits are the foundation for discipline in the Montessori toddler environment. Limits are clear and simple rules that are consistently upheld in the community. Young children need limits to feel safe and secure in their environment. Limits also help children establish who they are within a community. Adults maintain these limits and model them to the children. 

"The Umbrella Limits" 


The child in the toddler environment is allowed freedom within these three limits:

  1. Treat other people with respect, kindness, and peace both physically or emotionally 
  2. Treat the materials and environment with care. 
  3. Treat self with respect and care.  

In our classroom, as long as the Umbrella Limits are being followed, the child is free to choose an activity and work on it for as long as they desire.

If a child needs help with following a limit, we may model the expected behavior, provide a lesson, or invite the child to the quiet corner.

Expectations:

 There are certain expectations which we set and model in the classroom.
  • Use a rug to define your space when working on the floor. Roll and return rug when finished.
  • Table works may only be completed on a table.
  • Clean up all materials when finished.
  • Return work to the shelf so it is ready for the next friend to use.
  • Walk in the classroom.
  • Maintain a quiet voice level.
  • Ask to observe a friend. If they agree, observe silently with your hands behind your back.
  • Try to dress self before asking for help from an adult.
  • Try each food item at lunch before receiving the next course.
  • Clean up dishes from lunch.
  • Brush teeth after lunch. 

Expectations grow and evolve along with the children.  As they become more confident and capable with tasks, their expectations will increase.  

Nikki

Firefighters: Thank you Captain Thirot


Throughout the months of November and December, the toddler community learned about the important career of being a firefighter. We read books, sang songs, looked at pictures, and made crafts. 




On December 12, we visited the Coulommiers fire station. Captain Thirot, hosted our tour of the fire station and garage of emergency vehicles.

The firefighters greeted us and welcomes the children.

We got to watch the rescue vehicle send its ladder up into the sky.




The children were able to test out all the machinery used in rescuing people.




One of the most memorable moments was when the children got to dress up in firefighter gear!




We even got to test out the hose!



It was a great day of exploring and learning at the fire station!


Nikki

Montessori in the Home

The Montessori philosophy is not something just for school or home; but a way of living and thinking.


Role of the Parent:
Ask yourself, "How can I help my child do it by himself/herself?"
  • Set proper limits (lien)
  • Trust the child
  • Allow for choices and respect them
  • Allow the child to take care of personal needs
  • Allow the child to choose their clothes and shoes 
  • Show rather than tell
  • Follow their interests (Observe!) (lien )
  • Use encouragement instead of rewards or treats
  •  Set up a successful environment
                        - la chambre et le salon (lien )
                        - leurs jeux (

Depuis que j'ai écrit l'article sur la chambre de nombreux autres exemples sont apparus sur le net.


Nikki et Moi


vendredi 12 janvier 2018

Vacances romaines, vacances à thème, vacances différentes



Autant, parfois, il est agréable de poser les orteils en éventail et de ne rien faire surtout quand le reste de l'année a été éprouvant. Autant, parfois, il est intéressant de découvrir le monde à travers des yeux neufs. Etant maman solo, je suis un peu fatiguée des hôtels où finalement, on se sent assez seule et où on ne s'enrichit pas plus que ça.

Donc, j'ai eu une idée. Je me suis dis plutôt que de découvrir une région, un pays, je vais voyagé avec un thème.

Le thème a été choisi grâce à ma fille qui étudiait les romains à l'école et j'avais envie de rendre cela plus vivant.

Malheureusement, il n'y a aucun guide! Donc lorsqu'on veut voyager de cette manière, il faut faire des recherches.

Pour les romains on pense tout de suite....Rome, Pompéi mais que c'est cher ou du moins pas dans mon budget pour le moment ;-)

J'ai découvert qu'il y avait largement de quoi faire en France.

En descendant, vous pouvez vous arrêter à Alésia (21150 Alise-Sainte-Reine). Il est plus intéressant de réserver une animation:

Les reconstitutions extérieurs sont bien faites :


Puis direction le sud,

A voir le pont du Gard,

Personnellement, je n'ai pas particulièrement aimé le musée qui est pourtant beau.
Mais j'ai adoré la balade au milieu des oliviers et la baignade dans le Gardon. 
Il y a aussi des itinéraires de randonnée et des pistes cyclables.
Prévoir la journée, un pique nique, un maillot de bain.



Le théâtre d'Orange: Magnifiquement conservé! Personnel charmant!


Accueil génial pour les enfants: Les animations sont les mêmes que pour les scolaires mais à d'autres dates:


Vaison la Romaine: 

Juste à côté de l'office du tourisme un magnifique site romain avec visite guidée quotidienne:             http://www.vaison-ventoux-tourisme.com/decouvrir/patrimoine
Nous sommes tombés sur une guide passionnée et passionnante. 


Domus en ruine :-)

Ballade sympa près du pont et plaine de jeux un peu plus loin pour les enfants.

Si nous avions eu le temps, nous aurions aussi fait: Nimes et son ampithéatre et son temple romain, Arles, le mas des Tourelles ( http://tourelles.com/site-archeologique-et-cave-gallo-romaine/) pour déguster du vin comme les romains près de Beaucaire, Antibes, Fréjus ou Glanum.

Il y a aussi quelques traces à Paris:

Il n'y a donc que l'embarras du choix.

Si vous aussi vous avez fait un voyage un thème n'hésitez pas à partager!